Benabbes KahinaRassoul SelmaTahri Malek2024-07-102024-07-102024576/097-Thttp://dspace.univ-khenchela.dz:4000/handle/123456789/5871Blood cancers, known as hematological malignancies, do not appear in the organs like other cancers. Their proliferation is favored by abnormalities of the bone marrow and mature blood cells (responsible for slow or chronic hemopathies) or immature cells (responsible for rapid or acute hemopathies). Hematological malignancies are therefore abnormal and unstable growths of hematopoietic or blood cells. This explains the wide variety of blood cancers, including types such as leukemia, lymphoma and myeloma. Chronic myeloid leukemia (CML) is a predominantly granular clonal myeloproliferative disorder resulting from the transformation of a pluripotent stem cell. The disease is associated with a genetic abnormality involving the fusion of the ABL gene on chromosome 9 with the BCR gene on chromosome 22, leading to the formation of an abnormal chromosome known as the Philadelphia chromosome. The BCR-ABL rearrangement is usually detected by molecular biology. However, in the case of a complex variant of the Philadelphia chromosome translocation, the BCR-ABL rearrangement may not be detected by molecular biology. In this situation, a study using FISH is recommended. Chronic myeloid leukemia is an example of carcinogenesis. Its prognosis has improved considerably thanks to tyrosine kinase inhibitors or TKIs. Today, molecular monitoring, cytogenetic analysis (karyotype, FISH) and molecular biology (RTPCR) are key diagnostic tests. Molecular diagnostics have revolutionized the management of hematological malignancies, providing invaluable tools for diagnosis, prognosis, risk stratification and disease monitoring. It enables precise identification of homeopathic subtypes, detects specific genetic mutations, monitors residual disease and guides treatment choices. In economic terms, it reduces costs by avoiding unnecessary tests and treatments, improves treatment efficacy and optimizes the allocation of medical resources. Our work can be summed up as a bibliographical study with the aim of highlighting molecular diagnosis in hematological malignancies. As we did not carry out any practical studies, we presented the results of the various studies, which were then discussed on the basis of the data obtained. Résumé Un cancer du sang appelé hémopathie maligne n’apparaît pas dans les organes comme les autres cancers. Leur prolifération est favorisée par des anomalies de la moelle osseuse et des cellules sanguines matures (responsables d’hémopathies d’évolution lente ou chronique) ou immatures (responsables d’hémopathies d’évolution rapide ou aiguë). Les hémopathies malignes sont donc des croissances anormales et instables de cellules hématopoïétiques ou de cellules sanguines. Cela explique la grande variété des cancers du sang qui comprennent des types tels que la leucémie, le lymphome et le myélome. La leucémie myéloïde chronique (LMC) est un syndrome condition myéloproliférative clonale à prédominance granuleuse, résultant de la transformation d’une cellule-souche pluripotente. Cette maladie est associée à une anomalie génétique impliquant la fusion du gène ABL du chromosome 9 avec le gène BCR du chromosome 22, cette fusion conduit à la formation d’un chromosome anormal appelé chromosome Philadelphie. Le réarrangement BCR-ABL est généralement détecté par biologie moléculaire. Toutefois, lorsqu'il s'agit d'un variant complexe de la translocation de chromosome Philadelphie, le réarrangement BCR-ABL peut ne pas être détecté par biologie moléculaire. Dans cette situation, une étude à l'aide de FISH. La leucémie myéloïde chronique représente un exemple de cancérogenèse. Son pronostic s'est considérablement amélioré grâce aux inhibiteurs de tyrosine kinase ou ITK. En ce moment, le suivi moléculaire, l'analyse cytogénétique (caryotype, FISH) et la biologie moléculaire (RT-PCR) sont actuellement des examens clés pour le diagnostic. Le diagnostic moléculaire a révolutionné la prise en charge des hémopathies malignes en fournissant des outils précieux pour le diagnostic, le pronostic, la stratification du risque et la surveillance de la maladie. Il permet une identification précise des sous-types homéopathiques, détecte les mutations génétiques spécifiques, surveille la maladie résiduelle et guide le choix des traitements. Sur le plan économique, il réduit les coûts en évitant des examens et traitements inutiles, améliore l'efficacité des traitements et optimise l'allocation des ressources médicale. Notre travail se résume en une étude bibliographique ayant pour objectifs la mise en évidence du diagnostic moléculaire dans les hémopathies malignes. Comme nous n’avons pas effectué d’étude pratique, nous avons présenté des résultats émanant des différentes études qui ont été ensuite discutées à partir des données obtenuesfrL'APPORT DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE DANS LE DIAGNOSTIC DES HEMOPATHIES MALIGNESThesis