Étude de l’’activité ovarienne pour quelques espèces acridiennes Étude de l’’activité ovarienne pour quelques espèces acridiennes Étude de l’’activité ovarienne pour quelques espèces acridiennes
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Date
2021
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UNIVERSITE ABBES LAGHROUR-KHENCHELA
Abstract
L’étude l’activité ovarienne chez dix (10) espèces acridiennes Anacridium aegyptium-
Pamphagus sp- Ocneridia volxemii- Aiolopus thalassinus- Oedaleus senegalensis- Dericorys
millierei- Ochrilidia gracilis gracilis ; Acrotylus patruelis patruelis, Pyrgomorpha cognata ;
Acrida turrita , prélevées des régions différentes (Khanchela, Biskra), révèleune différence
du nombre d’ovarioles d’une espèce à l’autre. Le nombre d'ovarioles par ovaire chez
Anacridium aegyptium et Pamphagus sp (respectivement 59,7±8,984945105 ; 144.125) les
place parmi les espèces acridienne ayant un potentiel biotique est élevé.
Alors que L'espèce Ocneridia volxemii (35±13,01003305 ; 35) possède un potentiel biotique
moyen Enfin,Les espèces Aiolopus thalassinus - Oedaleus senegalensis- Dericorys millierei-
Ochrilidia gracilis gracilis- Acrotylus patruelis patruelis- Pyrgomorpha cognata- Acrida
turrita (respectivement. 13.5±1,73296698 ; 15.7±1,87006431 ; 13,25±0,70710678 ;
16,125±1,83012345 ; 10,13±1,222007955 ; 11.8±5,238785745 ) les place parmi les espèces
acridiennes ayant un potentiel biotique est faible.
Il faut noter qu'il existe des différences significatives entre le nombre d'ovarioles par femelle
au sein de la même espèce car les écart-type calculés présentent des valeurs élevés pour les
six espèces. Par contre, il n’y a pas des différences entre le nombre d’oavrioles des ovaires
droit et gauche par femelle au sein de la même espèce. Ces résultats peuvent être due aux
plusieurs facteurs (l’alimentation, la saison, numéros de la ponte, les conditions climatiques,
la situation géographique ... etc.).