Contribution à l'étude de quelques propriétés thérapeutiques d'Aloe vera.

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Date
2017
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Publisher
Abbes Laghrour University, Khenchela
Abstract
Aloevera est une plante classée dans des familles différentes: Asphodélacées, Aloéacées, Xanthorrhoeacées et Liliacées. Cette dernière est celle que l’on rencontre le plus souvent. Ceci s’explique par les deux systèmes de classification qui coexistent: Dans la classification de Cronquist, parmi les 15 familles que composent l’ordre des Liliales, on distingue notamment les Liliacées et les Aloéacées. Autrefois, l’Aloe était classé dans la famille des Liliacées, mais l’espèce a aujourd’hui sa propre famille : les Aloéacées. Dans la classification d’APG III, la famille des Aloeacées n’existe pas et les Aloès sont regroupés dans la famille des Xanthorrhoeacées..Les acides gras, les acylglycérols, les phosphoglycérides, les sphingolipides, les glycolipides et les polycétides, qui résultent de la condensation de groupes cétoacyle, auxquels s'ajoutent les stérols et les phénols, qui sont produits à partir d'unités isoprène. Bien que le terme lipide soit souvent utilisé comme synonyme de graisse, ces deux termes ne sont pas équivalents car tous les lipides ne sont pas des graisses, les quelles correspondent stricto sensu aux seuls triglycérides. Les lipides englobent à la fois les acides gras et leurs dérivés y compris les mono-, di- et triglycérides ainsi que les phospholipides mais aussi les métabolites comprenant des stérols, comme le cholestérol Malgré les avances spectaculaires dans les recherches pharmaceutiques, l'apparition et le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques est devenu un défi médical mondial. Les professionnels de la santé ne cachent pas leurs inquiétudes suite aux développements des bactéries multi-résistantes. Ces dernières provoquent des infections qui ne réagissent plus aux antibiotiques. Selon l’OMS, plus de 1,4 million de personnes dans le monde sont victimes des infections nosocomiales provoquées par les bactéries résistantes aux traitements et contractées lors des soins médicaux. Il est à noter que 70% des infections nosocomiales lourdes sont osseuses. Les fréquences maximales ont été rapportées dans les hôpitaux des régions de la Méditerranée orientale et de l’Asie du Sud-Est (11,8% et 10,0% respectivement), et la prévalence atteignait 7,7% en Europe et 9,0% dans le Pacifique occidental.
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