Étude de l’’activité ovarienne pour quelques espèces acridiennes.
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Date
2019
Authors
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Publisher
UNIVERSITE ABBES LAGHROUR-KHENCHELA
Abstract
L’étude l’activité ovarienne chez six (06) espèces acridiennes ; Anacridium aegyptium, Aiolopus
strepens, Ocneridia volxemii, Pamphagus batnensis, Tuaregainsignis, prélevées des régions différentes
(Khanchela, Biskra et Batna), révèleune différence du nombre d’ovarioles d’une espèce à l’autre. Le
nombre d'ovarioles par ovaire chezAnacridium aegyptium et Pamphagus batnensis (respectivement
73.13±13.09 et 137.75±11.65) lesplace parmi espèces acridienne ayant un potentiel biotique est élevé.
Alors que les espèces Ocneridia volxemii, Tuaregainsignis et Pyrgomorpha cognata (respectivement
31,17±5,53 ; 20±4.71 et 26.67±7.57) possèdent un potentiel biotique moyen.Enfin, l’espèce Aiolopus
strepens (11.5 ±4.12) possède un potentiel biotique faible.
Il faut noter qu'il existe des différences significatives entre le nombre d'ovarioles par femelle au sein
de la même espècecar les écart-type calculés présentent des valeurs élevés pour les six espèces. Par
contre, il n’y a pas des différences entre le nombre d’oavrioles des ovaires droit et gauche par femelle au
sein de la même espèce. Ces résultats peuvent être due aux plusieurs facteurs (l’alimentation, la saison,
numéros de la ponte, les conditions climatiques, la situation géographique … etc.).